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Nostalgie du Maroc

22 août 2016

Deux dirigeants du Mouvement pour l’Unification et la Reforme, géniteur spirituel du PJD, épinglés en flagrant délit d’adultère

 

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Des regards complices et langoureux lancés par My omar Benhmad à  Fatima Nejjar lors d'une précedente reunion du MUR

 

Derrière le rideau envoûtant de leurs sermons contre la fornication, les coquineries des dirigeants islamistes marocains ne cessent de défrayer la chronique en suscitant de profondes interrogations sur la réalité de leurs mœurs, à l’aune de leurs prêches sur le respect des valeurs morales et religieuses.

Apres les révélations torrides, il y a cinq ans, sur les galipettes grecques de la "Mamie Couguar", ayant promptement mis fin a son ambition de devenir l’égérie du mouvement interdit d’"Al Adl Wa Al Ihssane", le landerneau des conservateurs marocains est secoué depuis la matinée du samedi 20 août 2016 par l’éclatement d’un nouveau scandale sexuel, dont cette fois-ci la vedette principale n’est autre que Moulay Omar Ben Hammad, le premier vice-président du "Mouvement pour l’Unification et la Réforme" ("MUR"), connu pour être la matrice idéologique du parti de la Justice et du Développement ("PJD"), qui dirige le gouvernement actuel. 

Marié et père de sept enfants, cet enseignant des études islamiques à l’Université de Rabat, a été surpris, peu après 07h00 du matin, dans sa voiture garée a l’écart des regards indiscrets, non loin de la plage d’El Mansouria dans la région de Benslimane, en flagrant délit d’adultère, avec Fatima Nejjar, sa suppléante immédiate au sein du bureau exécutif dudit mouvement, où siégeait, d’ailleurs, son défunt mari avec lequel elle compte une marmaille de six enfants. 

Le comble dans toute cette histoire, c’est que l’indélicat mari volage, qui avait émis en 2013, une fatwa insensée ayant "jugé  haram  (illicite) du point de vue de la charia, l’échange sur les réseaux sociaux de formules de tendresses entre les maris et leurs femmes, ainsi que la publication par ces dernières de leurs photos de mariage au motif qu’elles y apparaissent dans toutes leurs splendeurs"; a tenté lors de son interpellation de se débiner, en prétendant avoir contracté avec sa maîtresse un mariage coutumier, une procédure formellement interdite et non reconnue au Maroc…avant de tenter d’acheter le silence des auteurs de son arrestation. 

Une attitude abjecte, qui a toutefois le mérite de mettre à nu la vertu de façade dont ne cessent de se prévaloir ces prétendus gardiens d’un ordre moral à géométrie variable, tout en s’acharnant, à l’exemple des islamistes du "MUR" et du "PJD", à instrumentaliser la religion musulmane à des fins politiciennes et à se moquer de la crédulité de leurs partisans, manifestement de plus en plus écœurés par le cancan de leurs dirigeants, qui n’arrivent plus à « voiler » leurs péchés épicuriens.

Aux dernières nouvelles, le "MUR" qui a été acculé à réagir, n’a trouvé d’autre parade que d’exclure de ses rangs les deux tourtereaux…sans doute pour éviter que le "PJD" ne soit éclaboussé par cette affaire de mœurs en période pré-électorale, au moment où ce parti soutient qu’il entend faire de la moralisation de la société marocaine, le principal cheval de bataille de sa campagne pour les législatives d’Octobre prochain. Faudrait-il encore que cette formation islamiste commence à balayer devant sa porte, qui assurément doit cacher bien d’autres vices innommables.    

 

Haim Zagouri

    

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4 juillet 2016

Maati Mounjib : pour quelques dirhams de plus …

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C’est un mois de juillet plutôt festif qui s’annonce au Maroc. Alors que vont bon train les préparatifs de l’Aid Al Fitr, la fête qui marque dans l’ensemble du monde musulman la fin du mois sacré de ramadan, les marocains s’apprêtent également à célébrer en ce mois estival, une autre réjouissance symbolisée par la rituelle fête du trône. 

Mais le mois de juillet ce n’est pas seulement cela au Maroc. C’est aussi la période de choix pour les refuzniks du Royaume pour inaugurer leur pathétique saison de grèves de la faim en cherchant à en faire tout un ramdam. On l’a bien vu, durant l’été 2015, avec la ridicule trilogie Ali Aarras, Ali Lmrabet et Maati Mounjib. Il n’est pas exclu que cela se reproduise à nouveau au cours de l’été 2016, sauf qu’on ne connaît pas encore la liste des cabotins qui vont mettre en scène la perte de leur surplus de graisse, tout en pleurant leur indigestion du régime marocain qui les empêche de se goinfrer à leur guise dans le lucre et le stupre. 

Parmi ces pique-bœufs de la démocratie marocaine, il est toutefois quasi-certain que Maati Mounjib va devoir rempiler cet été pour une nouvelle cure de dégraissage, surtout après avoir constaté que sa grève de la faim de l’année dernière n’était pas suffisante pour le disculper de cette triviale affaire de gros sous, dans laquelle il campe cette fois-ci de manière inédite, le rôle authentique d’un criminel en col blanc, au lieu « du militant victime de la complotite  du  makhzen conspirateur » auquel il nous avait habitué. 

On a même cru qu’il allait nous improviser une nouvelle crise d’hypoglycémie sur chaise roulante, lorsque le tribunal a annoncé le report au 27 octobre prochain de son procès et celui de ses 6 acolytes. Mais « Moul-Jib », comme le surnomment les gens de la ville de Benslimane, qui n’en reviennent toujours pas de la célérité avec laquelle l’historien progressiste et sa famille se sont transformés en capitalistes rentiers, a préféré, pour le moment ménager, ses forces…, étant persuadé que son affaire est encore susceptible d’accoucher de mauvaises surprises pour lui. 

Et pour cause, il s’est rendu compte que la justice marocaine souveraine ne saurait être impressionnable, ni impressionnée par quatre présumés observateurs français accourus au Maroc pour animer une conférence de presse de soutien à Maati Mounjib au siège de l’AMDH, cette association marocaine des droits de l’homme, dont les membres sont désormais réputés pour leur inhumanité à envoyer en prison de jeunes pousses comme Oussama Hosn et Ouafae Charaf, en les incitant à scénariser d’ubuesques et sordides persécutions des autorités marocaines et ce,…en contrepartie d’une poignée de dirhams distribués au compte-goutte aux familles de ces infortunés. 

Ce n’est pas non plus la publication d’un bidon article de presse du journal communiste français « l’Humanité », qui empêchera les juges d’élucider les véritables raisons pour lesquelles Maati Mounjib a crée et liquidé le fameux « Centre Ibn Rochd », tout en lui conférant le statut juridique d’une SARL, et qui ôtera l’envie à ces magistrats de découvrir le motif réel pour lequel les millions de Dhs engrangés clandestinement par cette SARL auprès d’ONG étrangères, ont finalement été transférés sur les comptes personnels de l’épouse française de Mounjib et sa sœur fatima. 

Enfin, ce ne sont pas les déclarations anxiogènes d’ « Amnesty International » sur l’avenir de la liberté d’expression au Maroc, qui pousseront le fisc marocain à annuler l’impôt (1.267.111,36 Dhs) dû par Maati Mounjib, suite à la commission de plusieurs irrégularités financières, dont le non paiement de l’impôt sur les sociétés. 

Voila pourquoi, plus tôt Maati Mounjib se mettra à table, mieux cela vaudra pour sa santé cardiaque et son diabète et plus la poche du philanthrope homme d’affaires Karim Tazi s’en trouvera ménagée.

Haim Zagouri 

 

 

 

 

14 juin 2016

La camarilla de Moulay Hicham, un prince en totale déconfiture financière

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Tout le monde se rappelle encore l’échec retentissant de la manœuvre de Moulay Hicham visant à provoquer l’interpellation surprise par la police française, de Mounir El Majidi, secrétaire particulier du Souverain marocain, après avoir ourdi avec son protégé Zakaria Moumni le dépôt en France d’une plainte pour torture contre ce proche collaborateur du Roi. 

La découverte de cette énième machination par le magazine « Jeune Afrique » n’avait fait que confirmer la réalité de cette volonté démoniaque du cousin du Roi de s’acoquiner à tous les coups avec des crapules n’ayant ni foi ni loi, dans l’espoir vain de porter atteinte à l’image de Mohammed VI et de son entourage, dont la vertu est manifestement inexistante chez la horde formant le premier cercle de la camarilla de Moulay Hicham, devenue célèbre, plus pour le parcours sulfureux de ses membres, que pour leur dissidence politique « à géométrie variable ». 

C’est le cas d’Aboubakr Jamai, ce journaliste mythomane qui n’arrive plus à démordre de sa thèse éculée dont il a fait son fonds de commerce au sujet du monopole qu’exercerait encore le Souverain marocain sur l’industrie agro alimentaire nationale, alors qu'il sait pertinemment que les désengagements de la SNI de « Cosumar », « Centrale Laitière », « Lesieur Cristal » et « Bimo » ont tous été actés avec transparence par la publication de communiqués officiels de cette holding. Par contre Boubky  (le surnom donné à Aboubakr Jamai pour ses interminables pleurnicheries) aime à justifier son « exil-fuite » en France, par son incapacité à payer une amende de 3 millions Dhs  de dommages et intérêts pour avoir diffamé le belge Claude Moniquet de l’ESISC (Centre Européen de Recherche, d’Analyse et de Conseil en Matière Stratégique), en oubliant bizarrement de rappeler la réalité de ses turpitudes financières par lesquelles il a, en complicité avec le pittoresque assureur Fadel Iraki et le Kerviel de l’ex-Wafabank, en l’occurrence Ali Amar, organisé la liquidation judiciaire de la société éditrice du "journal hebdomadaire, afin d'échapper au paiement d'une ardoise due à l'Etat, s'élevant a 14.000.000 Dhs, dont notamment les sommes de 5.000.000 Dhs redevable à la CNSS et 7.000.000  Dhs au préjudice des impôts. Ce fraudeur du fisc qui ne cesse de lancer des diatribes contre la prétendue hégémonie du "Makhzen économique" est le même qui avait opté pour l’achat d’un terrain de 2000 m² à Bouskoura, au lieu de régler les cotisations sociales de ses employés. 

Le profil d'Ali Lmrabet n’en est pas moins équivoque. Viré des Affaires Etrangères parce qu’il s’est fait remarquer pour sa promptitude à distribuer des gifles au lieu de réagir avec diplomatie, l’aubergiste potentiel de Tétouan a cru pouvoir gagner sa vie en insultant tout ce qui bouge dans ses journaux, à telle enseigne que ses collègues de la profession, comme l’espagnol Ignacio Cembrero, sont aujourd’hui persuadés qu’il est sérieusement atteint de psychopathie. Fauché après ses nombreuses mésaventures dans la presse écrite, ce trublion, qui reconnaît sans fausse honte que c’est son épouse espagnole qui lui paye aujourd’hui ses cafés, est passé maître dans la signature de contrats avec des maisons d’édition espagnoles, dont il empoche de substantielles avances en euros…sans pour autant délivrer de manuscrits. C’est sans doute du vol « piquant » et « satirique ». 

L’autre Ali, Amar de son nom, n’est plus à présenter coté "roublardise", depuis l’avortement en 1995 de son casse bancaire, qui sur la base d’une falsification de documents allait porter un coup fatal aux réserves de change nationales. Depuis lors, il s’est converti dans le journalisme, mais il se murmure sous cape ici et là, qu’il aurait tout de même conservé quelques uns de ses vieux réflexes de margoulin financier et qu’il ne serait pas allé de main morte dans l’allégement des caisses de l’ex-« Journal Hebdomadaire », en profitant surtout des contrats « échange marchandise », au moment où les employés étaient dépecés de leurs droits à la CNSS. Par la suite, son nom brillera à nouveau dans une vulgaire affaire de cambriolage de domicile perpétré de connivence avec son ancienne dulcinée Zineb Rhazoui, avant qu’il ne soit licencié pour plagiat par un site d’information français avec lequel Amar avait un temps collaboré. C’est ce qu’on peut considérer comme étant un véritable « changement dans la continuité ». 

Enfin, il y a le « Picsou Chéri » de Moulay Hicham, celui qui lui apprend les quelques deux ou trois formules pompeuses en français, que le prince affectionne d’utiliser sur les plateaux des chaînes françaises, pour tenter d’imiter le style unique de Hassan II. Il s’agit bien évidemment du journaliste Ahmed Reda Benchemsi, celui qui est arrivé à décrocher une bourse à Stanford en adjoignant à son dossier d’inscription à cette université américaine des publireportages dithyrambiques sur le cousin de Mohammed VI. Mais Benchemsi, qui s’est farci l’écriture de l’autobiographie de Moulay Hicham, n’excelle pas seulement dans le mercenariat de la plume. Il est même disposé à la casser en reniant son identité, pourvu qu’il y ait du fric à se faire. C’est ce qu’a révélé en 2013, le journaliste américain Max Blumenthal, qui au terme d’une longue investigation journalistique a découvert des liens pas très catholiques entre le nouveau site électronique lancé par Benchemsi, à savoir « Free Arabs Press » et « l’American Islamic Congress », une organisation liée au milieu conservateur américain et foncièrement islamophobe. 

Cette information n’a pas beaucoup surpris les anciens collègues de Benchemsi, qui se souviennent de l'avidité de ce journaliste « tournesol » à engranger des insertions publicitaires pour sa revue « Telquel », quitte à négocier un compromis avec ceux qu’il accusait d’assassiner à l'époque la liberté d’expression au Maroc. A ce propos, il se dit même que Benchemsi consultait infailliblement l’ancien patron des flics, Hamidou Laanigri, avant l’écriture de ses éditoriaux. Bien sur, tout cela avait lieu avant que Benchemsi ne devienne le cafard de service de l’ONG « Human Rights Watch ».  

Ils sont encore légion ce type d’aigrefins au sein de la camarilla de Moulay Hicham,  et il ne serait pas juste d’oublier de citer les cas du journaliste El Houcine Mejdoubi qui a toujours mangé dans la main de Moulah Hicham (son seigneur), l’universitaire Abdellatif Housni qui n’a jamais publié les chiffres de vente de sa revue trimestrielle « Wijhat Nadar », dont il prétend être le directeur, et aussi le dingo Ahmed Benseddik, qui a renié son allégeance au Roi Mohammed VI en contrepartie de la prise en charge par son cousin des frais de scolarité de son fils aux Emirats Arabes Unis. Omar Brouksy n'est pas en reste et occupe une place de choix dans la file des obséquieux de la "Liste de Hicham". 

Nullement embarrassé d’être le parrain d’une clique aussi malsaine, Moulay Hicham ne rate pourtant aucune occasion -comme l’a si bien dévoilé le journaliste Abderrahim Ariri, dans son récit sur les apartés épisodiques qu’il avait eus avec le prince à l'époque, au cours desquels ce dernier lui avait proposé d’injecter 50 millions de dhs pour le financement d’un journal « anti-système »-, pour déverser une avalanche d’insultes à l’encontre du premier cercle restreint du Roi, qu’il accuse sans fondement aucun, de s’ingénier à protéger ses intérêts personnels. Pourtant il est de grande notoriété  que Mohammed VI a toujours été et demeure particulièrement pointilleux sur le respect rigoureux par ses proches collaborateurs de l’éthique du pouvoir en n’admettant sous aucun prétexte qu’un membre de son entourage fraude le fisc, verse dans la concussion, ou s’accapare par cupidité un quelconque avantage, en exploitant sa proximité avec le Souverain, sachant que ceux qui ont été tentés de le faire en ont été pour leur frais. 

C’est cette intransigeance royale à l’égard de tout abus de pouvoir qui taraude à l’extrême l’esprit de Moulay Hicham et au lieu que celui-ci s’interroge si les requins qui l’entourent sont aussi irréprochables que les personnes faisant partie de l’entourage royal, il persiste à distiller plutôt médisances et calomnies sur l'aptitude du premier cercle du Roi à gérer les affaires de l’Etat, en se demandant avec perfidie "où sont passés les gros calibres qui entouraient Hassan II"?  

Une fois n’est pas coutume, l'amnésie de Moulay Hicham mérite une petite piqûre de rappel sur la force du lien familial au sein de la monarchie marocaine et la fidélité à toute épreuve de ses membres et ce, afin de mettre à nu la complotite aigue du « prince rouge », qui prétend vouloir « démanteler le Makhzen », mais rêve en secret, comme en sont persuadés certains de ses domestiques souffre-douleur, de pouvoir un beau jour l’incarner de manière despotique, voire même tyrannique. 

Car, s’il est vrai que comparaison n’est pas raison, il n’en reste pas moins que les marocains n’oublieront jamais la décision courageuse du prince Moulay Ali Alaoui, neveu de Mohammed V, ayant volontairement rejoint la famille royale lors de son exil à Madagascar et œuvré infailliblement, sa vie durant, pour la défense des intérêts stratégiques du Maroc. C’est surtout dans l’épreuve que ce « digne cousin germain de Hassan II », cherchait à exprimer sa loyauté indéfectible au défunt souverain. 

Qu’en est-il du « cousin germain de Mohammed VI », en l’occurrence Moulay Hicham? Aurait-il réagi avec le même élan nationaliste pour défendre la légitimité de la monarchie ? Assurément non et il est fort probable, qu’au regard de sa culture très western, il se serait plutôt déployé à truander Ben Arafa, non pas pour revendiquer le retour de Mohammed V, mais pour prendre sa place. 

C’est du moins cette logique qui transparaît des innombrables manigances de Moulay Hicham, dont particulièrement celle qu’il était parvenu à faire gober à une certaine presse de caniveau, ayant finalement amèrement regretté de s’être fait piéger par un prince manipulateur aspirant à se tailler de toutes pièces un costume d’opposant traqué par les services de sécurité marocains et qui n’aurait eu d'autre choix que celui de s’auto-exiler aux Etats-Unis et ce, dans l’espoir inavoué de regagner le Royaume en révolutionnaire de cumin. 

C’est précisément cette logique de victimisation obsessionnelle qui résume toute la vie de Moulay Hicham. Comme l’a pathétiquement mis en scène le nègre Benchemsi dans le livre autobiographique du prince, ce dernier serait la seule, l’unique et l’exceptionnelle tête de turc   de l’entourage royal, qui aurait décidé de l’adopter comme  « punching ball ». 

Par conséquent, ce sont les proches collaborateurs du Roi qui auraient sommé Bank Al Maghrib de rejeter pour défaut de provisions le chèque d’une valeur de 2 millions de Dhs, récemment émis par Moulay Hicham pour honorer sa dette envers le défunt Omar Slaoui, le beau-frère de son épouse Malika Benabdelali et à propos duquel le prince savait parfaitement qu’il était en phase terminale. Face à cette  situation honteuse, ce n’est pas tant la condition de prince de Moulay Hicham qui a empêché la famille du défunt de faire valoir ses droits  en recourant à la procédure du protêt bancaire, mais c’est plutôt son refus de provoquer un scandale susceptible d’éclabousser par ricochet la famille royale, d’autant plus que tout le monde sait au sein des familles Slaoui, Kadiri et Benslimane que le « prince rouge » est un puits sans fond.  

C’est aussi une main invisible de l’intérieur du Palais qui incite Moulay Hicham à poser des lapins à l’homme d’affaires Michel Azeroual, des que celui-ci réclame le règlement de ses créances qui se chiffrent en millions de dollars. Cela doit être une onde émanant du palais qui téléguide le businessman Abdelaziz El Mnezhi à s’infliger quasi quotidiennement l’humiliation de supplier Moulay Hicham de lui rembourser son dû pour pouvoir payer les frais de scolarité de sa fille à l’étranger. Enfin, c’est sans aucun doute encore un énième coup fourré fomenté par le palais qui a poussé Moulay Hicham à extorquer « mielleusement » la somme de 800.000 Dhs à la vertueuse professionnelle de l’enseignement privé, Saloua Rabii Al Andaloussi, laquelle pourrait passer par la case de prison pour faillite personnelle. La liste des victimes de l'insolvabilité de Moulahoum (leur seigneur) Hicham ne cesse de s'allonger. Demandez l'avis à Abderrahman El Cohen, doyen des souffre-douleur du prince, ou encore à Omar et Hicham  Kadiri et même à la famille Chaabi. 

La déroute financière de Moulay Hicham est telle, que même le staff administratif à son service se plaint régulièrement des retards de paiement des salaires et autres redevances mensuelles. Sans parler des prestataires comme l'avocat Ali Sqalli Houssaini et le notaire Jaouad Chraibi, qui en ont ras-le-bol de cumuler des honoraires impayés, au point qu'ils menacent aujourd'hui de faire un scandale public pour récupérer leur dû. 

Tout le monde l’a désormais compris. A force de comploter toute sa vie contre les autres, Moulay Hicham a fini par devenir l’ombre de ses échecs et l’acteur central de sa propre décadence. Il s’est attelé à prouver que ô combien la prémonition du  Roi Hassan II était fondée lorsqu’il a offert au prince un dollar troué.  Un présent qui, dix sept ans après la disparition du défunt souverain, continue de symboliser à la perfection le bilan de l’action de Moulay Hicham et de ses fiers à bras chargés de tramer des coups tordus pour souiller l’image du Maroc et celle du régime, dont le prince espérait en hériter la régence.

 

Haim Zagouri

 

7 juin 2016

Moulay Hicham est-il vraiment encore « bankable » ?

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Mais que se passe-t-il donc dans la maison « rouge » de Moulay Hicham ?. Ces derniers temps, elle semble avoir souffert de plusieurs craquèlements au niveau de ses fondations, après plusieurs mutineries de ses suppôts invétérés, ayant constitué pendant longtemps le noyau de sa garde prétorienne. 

Il y eut d’abord la charge violente du francaoui (français) hyperactif Ali Lmrabet, qui en trois méchants coups de taloches, sa grande spécialité, a « refait le portrait » du prince « tel qu’il l’a connu ». Cet ancien diplomate qui avait violenté son collègue lorsqu’il était en poste à l’ambassade du Maroc en Argentine et brutalisé sa maîtresse dans une salle de cinéma à Buenos Aires après l’avoir surprise avec un nouvel amant, s’est surtout évertué à faire la nette distinction entre l’image du démocrate qu’affiche en apparence Moulay Hicham et celle du caïd féodal à l’humour assez salace, qui s’amuserait volontiers à tyranniser ses domestiques dans son jardin secret. 

Ensuite vint le tour de Ali Amar, le braqueur qui a failli gruger trois millions de dollars à l’ex-Wafabank, devenu l’auteur d’un livre dédié aux multiples turpitudes d’un « Moulay Hicham aux ambitions démesurées » et avec lequel il avoue avoir trinqué quelques verres de « jus d’orange » en Suisse. Celui que le prince a accusé de « confondre intelligence et roublardise », s’est attelé à expliquer comment ce dernier a toujours cherché à poser en victime dans d’imaginaires affaires de barbouzes pour justifier son exil américain et s’ériger en « Bouhmara » version anglophone (renégat ayant tenté sur la période 1902-1909 de porter atteinte à la légitimité du trône marocain), voire en Ben Arafa du XXI ème siècle ( sultan fantoche intronisé par le protectorat français au lendemain de la déportation du Roi Mohamed V, en aout 1953). 

Amar, qui a pu observer de visu la profonde délectation avec laquelle Moulay Hicham tend volontiers la main à ses compatriotes fortuitement rencontrés au Plazza Athénée à Paris pour qu’ils lui fassent le baisemain, a également révélé dans son livre moult détails croustillants sur l’affairisme biscornu et pas toujours écolo du riche héritier de Feu Moulay Abdellah. 

Plus récemment, c’est Aboubakr Jamai, qui s’est aussi lâché contre ce prince, lui reprochant d’être atteint du syndrome de la « Prima Dona ». L’ex-patron du « Journal Hebdomadaire », grand pourfendeur devant l’éternel de la « Alaouisation de l’Economie marocaine », sans pour autant avoir jamais pensé à régler à la CNSS les cotisations des journalistes à son service, s’est tout à coup rebellé en exprimant sur les ondes de « France Inter » sa « profonde déception » à l’égard de l’ouvrage jugé très prosaïque de Moulay Hicham et ce, dans la mesure où ce dernier pose des « problématiques  iznogoudiennes » (sic). 

Le prof d’Aix-en-Provence, dont ses ex-employés au « Journal Hebdomadaire » étaient méprisés pour leur addiction roturière au chocolat bas de gamme « Maroja » et autres « Sevillana », certes beaucoup moins raffinés que les plats du traiteur « Paul » qu’il consommait quotidiennement, en a eu sans doute ras-le-bol que Moulay Hicham le déprécie à son tour, en ébruitant crânement, un peu partout, qu’il l’a très souvent dépanné financièrement en lui filant généreusement quelques liasses consistantes en dollars, ou en lui débrouillant un emploi au sein d’un nébuleux Think Tank à Abu Dhabi. 

Qu’est-il donc arrivé pour que soudainement ces trois piliers tordus de la « Hichamie », qui ont des années durant fricoté, chacun à sa manière, avec le prince, s’insurgent finalement contre lui, l’un après l’autre ? Moulay Hicham ne serait-il donc plus « bankable » ? 

En tous cas, c’est manifestement l’intime conviction de plusieurs businessmen de Casablanca et Rabat, qui sont restes pantois en regardant Moulahoum (leur seigneur) Hicham sur « France 3 » appeler, sans sourciller, le Roi du Maroc à donner sa fortune au pays, alors qu’ils ne cessent de souffrir eux-mêmes le martyre pour récupérer les grosses sommes d’argent prêtées ou plutôt extorquées par le prince. 

A commencer par cet homme d’affaires récemment décédé, avec le cœur rempli d’une grande amertume, pour ne pas avoir pu récupérer son dû, ou de ce commerçant vivement éploré par les multiples promesses non tenues par Moulay Hicham de lui rembourser le prêt qu’il lui avait consenti, ou encore de ce politique qui n’en peut plus de réclamer au prince d’honorer sa dette, dont dépend la survie de ses investissements, au même titre, d’ailleurs, que cet ami de la famille qui ne sait plus à quel rabbin se vouer pour récupérer son argent auprès de celui qui à pris la choquante habitude de faire valoir son sang bleu pour traire famille et amis à sa guise, afin de satisfaire son coté « chien fou » et aussi ses folles envies lubriques. 

C’est le cas de sa conquête du « printemps andalou » (pour changer un peu du "printemps arabe"), qui fait face aujourd’hui à un grand contentieux avec sa banque, après avoir émis plusieurs chèques sans provisions…dont le prince s’était pourtant engagé à lui virer les montants correspondants. Une promesse restée lettre morte et que ce dernier ne semble pas du tout pressé de tenir, au risque pour la malheureuse « doublement » désabusée, d’écoper d’une contrainte par corps.   

A ce rythme là, il n’est pas du tout exclu qu’Ahmed Reda Benchemsi, le frétillant nègre repêché par Moulay Hicham, qui s’est reconverti à présent en « Chekkam » (mouchard) contre le Maroc pour le compte de l’ONG américaine « Human Rights Watch », balance à son tour un communiqué au nom de celle-ci, pour fustiger le bafouement total de la dignité de ses compatriotes, par un prince qui joue de son rang pour racketter son petit monde. 

Une telle girouette ne serait nullement surprenante de la part du vénal fondateur de « Telquel », qui continue, pour le moment, à être choyé par Moulah (son seigneur) Hicham, mais qui n’hésitera pas, dans le cas contraire, à retourner sa veste contre ce dernier, tout comme il est parvenu à se métamorphoser en chantre des libertés humaines au sein de HRW, après avoir été comme cul et chemise avec l’ex-patron de la DST, Hamidou Laanigri, dont il acclamait des deux mains l’usage de la torture contre les islamistes. 

Si un tel communiqué venait à prendre forme, il ne sera pas non plus étonnant que d’autres partisans obséquieux du prince cherchent à fuir des décombres de la « Hichamie ». Du coup, le feu follet Ahmed Benseddik ne manquera pas de « retirer son allégeance » à Moulah Hicham, surtout si l’insolvabilité de ce dernier l’empêche de continuer à prendre en charge les frais de scolarité de son fils à Sharika, aux Emirats Arabes Unis. Le petit télégraphe de Grenade, en Espagne, qui officie sur le site électronique « Alif Post », n’hésitera pas, non plus, à tourner le dos au prince, sans même le remercier pour les deux appartements et la grosse cylindrée qu’il lui avait offerts. Quant au directeur putatif de la revue « Wijhat Nadar », il serait plus judicieux pour lui de chercher ailleurs, au lieu de demeurer dans l’attente douloureuse d’une très hypothétique prise en charge médicale par Moulah Hicham.   

Moralité de l’histoire et comme le dit un sage proverbe zoulou, « celui qui cherche ce qu’il ne doit pas chercher, finit par trouver ce qu’il ne cherchait pas ». C’est bien le cas de Moulahoum Hicham qui, depuis près d’un quart de siècle, s’échine à conspirer contre la monarchie marocaine et l'entourage Royal en multipliant ses sorties tonitruantes, tout en se rêvant un destin de « Nelson Mandela » du Makhzen, sauf qu’il risque plutôt de terminer comme un vulgaire « Bernard Madoff » marocain.

Haim Zagouri

1 juin 2016

EXCLUSIF: YOUNES ABAAOUD LOCALISE A ALEP

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Traqué depuis le mois d’avril 2016 par plusieurs services de sécurité européens, qui craignent son retour sur le Vieux Continent, voire précisément à Bruxelles où il a grandi, une source sure et proche des milieux marocains spécialisés dans la lutte contre le terrorisme, vient de révéler que Younes Abaaoud, 15 ans, a été très récemment localisé à Alep, en Syrie, près des frontières avec la Turquie. 

Ces  mêmes sources exclusives indiquent que les combattants de l’Etat Islamique gardent ce jeune jihadiste en détention, après avoir saisi sur lui la somme de 10.000 euros que lui avait fait parvenir son père Omar Abaaoud et qui devait lui servir à payer un passeur pour fuir vers la Turquie. 

Cette information est d’autant plus cruciale, qu’elle intervient à un moment où le Département d’Etat américain vient d’avertir ses ressortissants que des risques d’attentats terroristes menacent sérieusement la France, qui s’apprête à accueillir à partir du 10 juin prochain et pendant un mois, le championnat européen de football 2016, en soulignant que les stades et tous les lieux qui diffuseront ce tournoi en France et à travers l’Europe représentent des cibles potentielles pour des terroristes. 

Il y a près de deux mois plusieurs medias se référant à des documents d’Interpol, avaient assuré que Younes Abaaoud serait en chemin vers l’Europe pour venger son frère aîné Abdelhamid Abaaoud, un des auteurs des attentats terroristes de Paris en Novembre dernier, ce qui avait immédiatement incité le parquet de Bruxelles à ouvrir une enquête à ce propos.

 

Haim Zagouri

 

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29 mai 2016

L'amnésie feinte de Moulay Hicham sur l'origine de sa fortune

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Cela peut paraître noble, courageux, téméraire qu’un membre de la famille royale livre son témoignage dans un documentaire diffusé par une chaîne publique française consacré à la critique de la fortune du Roi du Maroc. Pourtant cette image d’Épinal du prince iconoclaste qui revendique « la nationalisation du patrimoine royal »  ne résiste pas longtemps à l’analyse des faits. 

Et les faits sont particulièrement têtus, surtout lorsque l’on observe la finasserie avec laquelle Moulay Hicham  prend soin de faire oublier la fortune colossale héritée avec ses deux cadets, de son défunt père, l’oncle paternel de Mohammed VI, tout en essayant de faire accroire  au mérite qu’il a « d’être parvenu à sortir de l’ombre protectrice de la Couronne Chérifienne grâce à la création en 1999, à Abu Dhabi de sa propre société Al Tayyar Energy », dont les usines prospères et florissantes sont implantées en Thaïlande, au Canada et en Grande Bretagne, où elles produisent de l’énergie renouvelable. 

Un projet d’investissement, qui en dépit d’avoir englouti des centaines de millions de dollars tirés directement de son héritage (avec en sus le recours au patron d’une banque marocaine de la place pour payer les créances), sans bénéficier ni au Maroc et encore moins aux marocains, n’a pas pour autant empêché Moulay Hicham de mêler sa voix à celles et ceux qui s’évertuent à vouloir accuser le Souverain du Maroc d’évasion fiscale, pour le seul fait qu’il détient un compte bancaire en Suisse ou qu’il acquiert en toute légalité des biens personnels à l'étranger. 

Car pour être crédible, le prince, qui s’est auto banni depuis près de 15 ans avec femme et enfants chez l’Oncle Sam, où il se considère de son propre aveu comme un « immigré de luxe », devrait donner l’exemple en acceptant de dévoiler le coût réel de son exil américain et révéler le montant complémentaire à ses dividendes d’Al Tayyar Energy, qu’il doit prélever sur ses exportations de clémentines et autres agrumes du domaine d’Al Boura à Taroudant, pour boucler ses fins de mois aux États-Unis et payer ses charges mensuelles. 

C’est vrai que Moulay Hicham nous avait scotchés par sa "franchise habituelle" en 2001, lorsqu’il avait déclaré sur les plateaux de la chaîne française "LCI", que son propre logement était  hypothéqué. A cette époque, on ne l’avait pas bien compris, mais en réalité, le prince n’est ni un féru du capitalisme sauvage, ni un collectionneur de patrimoines. C’est plutôt le mécène amoureux de la science et du savoir qui n’hésite pas à ponctionner six millions de dollars sur l’héritage paternel, pour en faire don à l’université de Princeton et à loger sa fondation éponyme, dans le paradis fiscal du Vaduz au Liechtenstein.  

C’est aussi l’altruiste qui aime à publiciser l’amour qu’il nourrit envers son prochain, en prenant en charge l’hospitalisation en France des journalistes et universitaires marocains en rupture de ban et ayant sombré dans l’aigreur politique, ou encore les frais de scolarité de leurs progénitures dans d’élitistes universités aux Emirats Arabes Unis …  à condition, toutefois, que tout cela soit consigné en bonne et due forme dans une reconnaissance de dette… au cas, parait-il, où l’office des changes marocain en aurait besoin. 

Avec autant de dépenses hors des frontières du Maroc, où contrairement à sa fratrie il s’est refusé, au cours de ces quinze dernières années, à y investir le moindre centime de son héritage, il serait farfelu de croire que Moulay Hicham, qui possède des comptes bancaires aux USA, en Suisse, à Beyrouth, à Abu Dhabi, au Liechtenstein et on ne sait où encore, s’adonne à l’évasion fiscale. 

Forcement non, car comme l’appréhendent la meute de journalistes refuznik que le prince entretient en Espagne, en France, ou aux États-Unis et qui ne manquent pas de le traire cupidement en euros et en dollars, en contrepartie de quelques écrits sulfureux pour monter en sauce un compte royal à la banque suisse "HSBC", ou les supputations infondées des « Panama Papers » ; il s’agirait d’un « soutien caritatif  salutaire » à l’alimentation de la critique nihiliste contre le régime marocain. 

Moulay Hicham en est tellement convaincu, qu’afin de pérenniser le financement de sa petite cour de courtisans, il a même décidé d’en externaliser avec perfidie les ressources, en allant quémander auprès de son entourage familial et amical des sommes d’argent qui ne sont jamais inférieures à six zéros et qu’il refuse de rembourser le jour J, en prétextant avec mauvaise foi le blocage que connaît depuis trente ans le règlement de la succession de son défunt père. 

Un véritable racket, qui a fini par excéder les nombreux créanciers d’un prince insolvable croulant sous une multitude de dettes personnelles et bancaires et du coup, ces derniers n’hésitent plus à jaser sur  l’imposture du discours moralisateur et de défense des droits de l’homme prêché par Moulay Hicham, qui demeure incapable de préserver la dignité des gens en honorant les dettes qu’il leur doit. 

C’est sans doute pour toutes ces raisons que les médias français, lassés de ressasser les mêmes balivernes sans fondements sur le régime marocain, surtout après avoir découvert les réelles motivations des deux journalistes prédateurs qui en sont derrière, ont décidé cette fois-ci d’enquêter d’un peu plus près sur la fortune de Moulay Hicham, ce prince marocain donneur de leçons, qui affectionne de balayer devant la porte des autres avant de le faire devant la sienne. 

Une démarche saine qui permettra certainement aux journalistes français objectifs et intègres de distinguer le bon grain de l’ivraie dans le portrait dithyrambique qu’avaient brossé de lui ses nègres dans l’autobiographie publiée par le prince en 2014, sans avoir pu convaincre grand monde.  

 

28 mai 2016

Le tacle "assassin" de Boubki contre El Hachmi

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Conçu dans l’intention maléfique de tailler en pièce la légitimité de la monarchie marocaine, le fameux documentaire diffusé par la chaîne française "France 3", a plutôt fini par virer au pugilat entre les invites du réalisateur Jean Louis Perez, lesquels n’hésitent plus à se cogner entre eux, en se lançant à la figure toutes sortes de pics assassins, donnant ainsi, une idée claire et à vrai dire connue depuis belle lurette, sur le peu de crédit qu’ont finalement ces faux parangons de la démocratie. 

Apres le lynchage en live de Catherine Graciet, la prédatrice aux dents longues ayant cru, de son propre aveu, «pendant une vingtaine de minutes pouvoir financer sa passion pour les équidés en extorquant de l’argent au Roi du Maroc », c’est au tour de Boubki d’asséner un uppercut direct à El Hachmi, qui l’avait méchamment épinglé, il y a deux ans, dans son livre en toc, en déplorant que « ce journaliste souffre du syndrome de la prima donna », pour mieux railler le caractère égocentrique et vaniteux de ce dernier. 

Du coup, lorsqu’un journaliste de "France-Inter" l’a interpellé, il y a quelques jours, sur son opinion concernant le "journal d'un prince banni", Boubki ne s’est pas fait prier pour exprimer non seulement toute « sa déception » sur sa teneur, mais aussi pour dénoncer explicitement l’ambition de son auteur "Iznogoud", qui, a-t-il souligné, aspire bel et bien à devenir le calife à la place du calife. 

Certes, il s’agit d’un secret de polichinelle, mais qui dans la bouche de Boubki, acquiert un tout autre sens, en particulier pour El Hachmi, qui n’en finit plus de se faire férocement taclé par ses anciens compères. Lmrbout, excusez Lmrabet, avait déjà fait publier une monstruosité écrite de la main sacrée d'un prince descendu beaucoup trop bas, qu'il risque d'y trouver du pétrole. De quoi inciter El Hachmi à songer sérieusement à raccrocher ses crampons, au risque de terminer son mauvais match avec une béquille à la cuisse.

Haim Zagouri

3 mai 2016

LES TARTUFFERIES DE L’AMDH OU LE MERCANTILISME AU NOM DES DROITS DE L’HOMME

5555555L'Amdh, cette association avide de dollars pour faire la promotion du « polisario »

 

Décidément, les radicaux de gauche de nos contrées appartiennent, sans conteste, à cette caste de prêcheurs qui vous disent : « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais ». Car, comment prôner la sobriété et la bienfaisance droit-de-l'hommiste en faisant feu de tous bois pour dénoncer le "despotisme" de l’Etat auprès du grand public, tout en se montrant cupide à l'extrême et partisan des purges staliniennes? Comment se vanter d’être une association "marocaine", tout en agissant comme la cinquième colonne des ennemis de la Nation et en portant atteinte a ses valeurs fondamentales, ainsi qu'à ses symboles ? 

Telle est l'équation à plusieurs variables, qui caractérise l’Association Marocaine des Droits de l’Homme (Amdh) et dont elle est la seule à en connaitre la solution. 

la boulimie mercantile d’une ong qui n’a demarocain que le nom

selon une étude de la Cour des Comptes, effectuée sur la base de données communiquées par le Secrétariat Général du Gouvernement, les années 2011 et 2012, ayant coïncidé avec l’émergence du « printemps arabe » et de sa version marocaine « le mouvement 20 février », auront connu un pic des financements étrangers en faveur de la société civile nationale, dont la part du lion est naturellement revenue l’Amdh, qui eu égard aux subventions qu'elle a engrangées de l'extérieur du Royaume en 2010,a multiplié celles-ci par un coefficient de cinq en 2011 et de 21 en 2012 !!! 

le monde serait-il en train de devenir plus mécène, ou s’agit-il purement et simplement d’opérations machiavéliques d’achats de consciences déguisées en actes de charité au nom d’une bienfaisance occidentale désintéressée, qui aurait mieux fait d’opter pour un placement plus judicieux de ses fonds et surtout plus humanitaire, en soutenant par exemple la lutte contre les maladies infectieuses qui sont les premières causes de décès dans les pays en développement, comme la fièvre jaune, la méningite, ou encore la rougeole, dont le prix du vaccin ne coûterait aux messies du Nord pas plus qu’une contribution dérisoire de 0,25 euro. 

il n’est pas du tout nécessaire d’être un fin géo-stratège pour réaliser que ces largesses étrangères ne visent rien d'autre qu'à financer des actions de déstabilisation, puisque, selon le même rapport de l'institution présidée par Driss Jettou, les secteurs de l'activisme associatif les plus concernés par les subventions étrangères sont principalement liés à des thématiques aussi ambiguës qu'accessoires, au moment ou les domaines vitaux de la santé (3,69%), de l’économie (2,60%) et du sport (0,02%) sont nettement mal lotis. 

Ainsi, l’on est en droit de s’interroger pour quelle raison l’Amdh figure en pole position des organisations soutenues financièrement à partir de l’étranger, d'autant plus que la part de ses entrées "marocaines" n’est que de 5%, au moment où 95% de ses ressources globales proviennent de milieux étrangers hypocrites, particulièrement ceux qui sont aujourd’hui en train de recourir à toutes sortes de moyens pour faire pression sur le Maroc, voire pour y semer le chaos. 

Cela ne suffit-il pas pour les décideurs marocains de demander des comptes aux dirigeants d’une ONG "nationale" quasi-totalement financée à partir de l’étranger et de surcroit reconnue "d’utilité publique", en l'interpellant sur ses collusions suspectes, à plus d’un titre, avec nos ennemis les plus hostiles, y compris ceux du « polisario » dont ils ne cessent de claironner, à cor et à cri, le droit à l’autodétermination, tout en observant un mutisme déconcertant  à l’égard de la sauvage tuerie dont ont été victimes 11 éléments des forces de l’ordre marocaines, lors du démantèlement en 2011 du tristement célèbre campement de "Gdem Izig". 

En plus d’être recyclée au profit de l’agitation politico-sociale génératrice d’agitation et de déstabilisation que l’Amdh sous-traite au profit de ses donateurs étrangers, cette manne financière étrangère, permet à nos philanthropes de la gauche radicale de gouter aux joies du monde capitaliste, n’hésitant pas à brader leurs présumées valeurs sur l’autel de la cupidité et l’intérêt les plus abjects, à l’image d'un vétéran nostalgique de la révolution bolchevique, agissant sous le paravent du militant épris des droits des marocains, qui est de toute les manifestations anti-américaines, alors même qu’il scolarise ses deux enfants chéris chez l’oncle Sam, bien que ses revenus légaux ne le lui permettent guère. 

un congres taille sur mesure

Depuis presque une année, jour pour jour, les radicaux d’Annahj Addimocrati qui tiennent d’une poigne de fer les rênes de l’Amdh et qui refusent de lâcher du lest, ont manigancé, lors de conciliabules secrets dignes des organisations les plus ésotériques, divers stratagèmes et plans macabres. Car, oui en effet, il s’agissait d’assassiner cette même démocratie dont ils se sont toujours proclamés les défenseurs attitrés. 

Tout à fait conscients de la nécessité d'afficher en façade un simulacre de démocratie interne, les membres du Bureau de cette association stalinienne ont renoué, bien avant le rendez-vous du congrès, avec leurs frères ennemis du "PADS" et du "PSU" qui font partie des fondateurs de l’amdh, en leur faisant miroiter la promesse d’une représentativité digne de leur poids au sein des futures instances de l’association et ce, afin de pouvoir se servir de ces deux partis politiques comme des alibis pour faire accroire au succès dudit conclave et à son déroulement normal et réglementaire. 

Seulement, le cours des événements allait mettre à nu le machiavélisme de ces usurpateurs de la démocratie, qui sont restés intraitables quant au maintien de leur contrôle sur les rouages de l’association, en prenant toutes les précautions pour se faire l’économie d’une quelconque surprise durant un congrès, que d’aucuns ont tout bonnement qualifié de formel. 

Dans ce sens, un plan sournois a été déployé par Khadija Ryadi et consorts, ayant consisté à convaincre les autres composantes de l’association, que les partisans d'Annahj Addimocrati ne sont guère motivés par le leadership de l'Amdh, mais juste pour briguer 50% des sièges au sein de ses instances dirigeantes, alors que la réalité a été tout autre, puisque ce parti radical s’est adjugé une majorité écrasante au sein des organes décisionnels de cette ONG, sans compter les pseudo-indépendants qui ne sont autres que des affiliés à ce même parti qui continue de rêver à une chimérique révolution prolétarienne. 

Le quota accordé au tandem pads-psu n’est pas plus qu’un cadeau empoisonné, puisque les protégés d'Abderrahmane Benameur et de Nabila Mounib ont été réduits à un rôle de simples figurines. Le pouvoir de décision demeure toujours la chasse gardée des descendants d’Ila Al Amam, dès lors que ces derniers, qui sont en mal de prolongement au niveau local, ont déjà pris le soin de purger les structures régionales de l'Amdh des militants du pads et du pSU, pour les priver de toute possibilité d’influer sur les grandes orientations (politiques radicales) de l'association. 

Autre caractéristique de ce congrès à la cocote minute, le président sortant, Ahmed El Haij, ayant consommé ses trois mandats au sein de la commission administrative de l’association et qui, statutairement, n’a plus le droit de postuler, au même titre que le secrétaire général Tayeb Madmad, à une quatrième élection, a été, contre toute attente, reconduit à la présidence de l'Amdh, à la faveur d’une dérogation aux statuts internes de l’association. Pourquoi donc condamner les tyrans de certaines républiques qui recourent perpétuellement à l'amendement de leurs lois fondamentales pour s'adjuger une énième législature suprême, si telle est une pratique jugée normale par une association qui prétend défendre les valeurs démocratiques ? 

Plusieurs ont été écœures par cette démocratie de façade digne des républiques absolutistes, à l’image du président d'une section locale de l'Amdh et non moins membre sortant de la commission administrative, qui a publié sur sa page "facebook" une contribution dénonçant de manière acerbe ce retour en force du clanisme et cette place essentielle qu’occupe la rente politique au sein de l’association. 

Ce tour de passe-passe a été monté de toutes pièces par les prestidigitateurs d’Annahj Addimocrati, au mépris de l’intelligence des 500 congressistes tournés en bourriques, afin de préserver l'ascendant sur un Ahmed El Haij mollasson, qui se prête volontiers aux manipulations des initiés de cette gauche radicale avide de subventions étrangères et non sans susciter une vague de contestation interne, y compris parmi les ténors de l’association, qui ont menacé de démissionner pour protester contre le manque flagrant de démocratie et de transparence au sein de l’ONG. 

Assurément, avec ce congrès en trompe-l’œil, l’idée que l'Amdh constituerait le « dernier bastion de la démocratie » au Royaume n’est finalement qu’une blague de mauvais goût pour ceux qui s'évertuent encore à promouvoir de mauvaise foi l'existence d'une ONG prétendument "démocrate" et "transparente", dont il s'avère que son noyau dirigeant aux couleurs  d'Annahj Addimocrati n'a d'autres objectifs que de perpétuer sa mainmise sur cette poule aux œufs d’or.

 

Haim Zagouri

 

 

24 avril 2016

Affaire Zakaria Moumni : « requiem pour les 5 millions d’euros ! »

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La conclusion de l’arrêt circonstancié notifié il y a un mois par le parquet général marocain au ministère français de la justice est sans appel : « les accusations  de torture » alléguées par le boxeur Zakaria Moumni contre le patron de la DGST-DGSN sont « dénuées de tout fondement (…) et par conséquent il a été décidé de classer la dénonciation officielle » transmise par Paris à Rabat en 2015, en application de la nouvelle convention de coopération judiciaire franco-marocaine entérinée en juin de la même année par l’Assemblée Nationale. 

Cette convention, qui stipule qu’en cas de procédure engagée en France par un ressortissant marocain pour des faits commis au Maroc, le magistrat français saisi est tenu de renvoyer le dossier à son homologue marocain, a donné lieu à l’ouverture par les autorités judiciaires du Royaume d’une procédure consignée dans pas moins de 72 pages, ayant permis d’établir « un défaut de preuves », autant pour les prétentions de Moumni au sujet de son « enlèvement et sa séquestration arbitraire dans un centre de détention secret au siège de la DGST a Témara  », qu’en ce qui concerne celles relative à « la torture ou autres mauvais traitements ».  

Cet arrêt de classement, marque donc la fin de cette mauvaise affaire qui avait éclaté en 2014, suite à la rocambolesque descente policière à la résidence de l’Ambassadeur du Maroc à Neuilly, tout autant qu’il sonne le « knock-out »  d’un mauvais boxeur obligé de ressasser désespérément à qui voudra encore bien l’entendre : « Bye Bye les 5 millions d’euros », au moment même où celles et ceux qui l’avaient encouragé dans sa vulgaire rapine contre son pays natal, ont décidé de lui tourner le dos ou de l’éjecter définitivement de leur vie.   

 

Haim Zagouri

 

13 avril 2016

Zakaria Moumni traîné en justice à la fois par son épouse Taline et la police française

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                Le couple Moumni, quelques mois avant qu'il ne se déchire

 

Chassez le naturel, il revient vite au galop ! C’est bel et bien le cas du pathétique boxeur Zakaria Moumni qui s’égosille depuis deux ans à faire croire monde entier qu’il a été victime de « torture » au Maroc, dans l’espoir d’extorquer de l’argent aux autorités de ce pays. 

Sauf que la vérité a fini par prendre le dessus et l’on se rend compte que notre boxeur belliqueux a bien du mal à garder, en dehors des rings, ses poings dans la poche. Cette fois-ci c’est sa femme Taline, qui a eu la désagréable expérience de tester ses lâches uppercuts. Qu’est-il donc arrivé ? 

Selon des sources fiables, l’histoire à commencé le 31 décembre dernier, lorsque pour fêter « amoureusement » le réveillon de fin d’année, le couple Moumni se retrouve à dîner dans un restaurant parisien. Sauf qu’avant d’en arriver à la coupe de champagne de minuit, Zakaria reçoit un coup de fil sur son portable, qui l’oblige à se lever de table et à sortir du restaurant pour papoter dehors à son aise… pendant une quinzaine de minutes. Une longue éclipse pas du tout au goût de Taline qui n’était plus d’humeur à savourer le foie gras de la soirée, surtout à l’écoute des justifications vaseuses que lui a fournit Zakaria sur cet appel impromptu. Pleines de soupçons, celle-ci s’est donc démenée pour récupérer sur le portable de son mari le numéro d’appel de cette mystérieuse personne qui a tant de choses à raconter à Zakaria, un soir de réveillon. Et là, surprise ! Elle constate que c’est une femme. 

L’intuition féminine étant par définition insatiable, Taline va poursuivre sa petite enquête jusqu'à cette tragique soirée du 17 janvier où elle a décidé de débarquer à l’adresse de « cette simple connaissance » comme avait persisté à l’affirmer son mari volage, qu’elle trouvera sur place. 

Verte de rage, sans doute en souvenir de la couleur du passeport que Zakaria a déchiré face aux cameras de TV5, après avoir bénéficié, grâce à elle, de la nationalité française, Taline s’est empressée de revenir sur le champ à la maison pour balancer dans la rue toutes les affaires de cet époux ingrat, tout en lui interdisant désormais l’accès au domicile conjugal. 

Mais l’infortunée épouse avait sans doute oublié que Zakaria Moumni est cet enfant unique capricieux qui ignore le respect de la loi et à fortiori celui d'autrui. Tout comme il n’a pas supporté que ses lubies ne soient pas satisfaites par l’Etat marocain, contre lequel il a inventé une histoire de « torture » à dormir debout, Zakaria n’a pas non plus supporté, en dépit de sa tromperie conjugale avérée, d’être viré par sa femme… qu’il s’est mis à violenter comme le dernier des goujats, comme nous l’on affirmé sous le choc nos mêmes sources. 

Un comportement condamnable, qui a certainement convaincu Taline, que son époux infidèle n’a jamais été la présumée victime des autorités marocaines, mais bien le bourreau de lui-même, à force de fomenter des mensonges et des manigances sans lendemain contre d’honorables hauts responsables. 

C’est bien ce qu’elle a eu l’occasion d’observer, lorsque après avoir été contrainte d’appeler la police pour neutraliser son forcené de mari, ce dernier s’est mis à se débattre violemment en menaçant de mort les policiers. Des menaces similaires à celles dont il prétend, avec l’imagination qu’on lui connaît, avoir fait l’objet de la part des présumés tortionnaires rencontrés dans l’inexistant « centre de détention » de Témara.   

Placé en garde à vue durant cette longue nuit du 17 au 18 janvier dernier, Zakaria Moumni, qui s’est fait également éjecter par son éphémère dulcinée, à laquelle il avait fait croire qu’il était en phase de divorce avec son épouse légitime, doit affronter aujourd’hui deux nouvelles plaintes : celle déposée par Taline pour « violences conjugales » et la deuxième pour « menace de mort et outrage à fonctionnaire durant l’exercice de ses fonctions », intentée par les policiers qui ont procédé à son interpellation. Pourvu seulement que Zakaria Moumni n’accuse pas la police française d’avoir tenté de le transformer en steak tartare durant sa garde à vue. On ne sait jamais, car on peut s’attendre à tout d’un boxeur en toc.

 

Haim Zagouri

 

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