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Nostalgie du Maroc
10 mars 2015

EXCLUSIF : comment « France-Inter » est devenue une radio gangrenée par la « Gauche de la Gauche »

 

A la veille de la visite de Laurent Fabius à Rabat, cette radio « publique et officielle » française a gratifié samedi dernier ses auditeurs, d’un reportage de désinformation « planifiée » sur le Maroc, dont il est tout à fait futile de revenir sur sa nature propagando-progressiste, mais qui mérite plutôt qu’on s’intéresse à la question cruciale de l’idéologisation métastasique des médias français par un grand nombre d’anciens journalistes de « Rouge », la feuille de chou de la ligue communiste révolutionnaire, à l’époque où ce mouvement appelait de ses vœux l’instauration par les armes d’un Etat prolétaire dictatorial en France, lesquels noyautent actuellement aussi bien le service public financé par l’argent du contribuable, que la presse subventionnée par l’Etat ou « enchaînée » à sa structure profonde, à l’exemple du « Monde » et du « Canard », qui constituent les deux principales tours de Babel du gauchisme en France.

Justement « le courant d’air » qui a gauchement soufflé le week-end dernier sur les ondes de « France-inter », dans le but évident de refroidir la nouvelle dynamique des relations entre Paris et Rabat, révèle de manière édifiante le diktat qu’exerce ce groupuscule de journalistes néo-communistes au sein des médias publics.

Il n’est donc pas vraiment surprenant de constater, à cet égard, que ce soit ce type de journalistes qui assurent la réalisation de l’émission hebdomadaire intitulée « Comme un bruit qui court », laquelle est présentée de surcroît par ses promoteurs comme le « rendez-vous radiophonique gauchiste par excellence, dont l’ambition est de se faire l’écho de la pensée dissidente et de la contestation des sans voix de la planète », à travers le dénigrement populiste des élites modernes et libérales. Bref, une émission qui constitue un alibi de gauchisme, du fait qu’elle incarne « le seul refuge de la radio généraliste, où il est encore possible d’exprimer une critique radicale du pouvoir, sans s’embarrasser d’équilibre politique » et de promouvoir en exclusivité  toutes les causes perdues de la "gauche de la gauche", qui demeurent superbement ignorées par les grands médias.


Car, il est quand même utile de savoir, pour la petite histoire, que l’architecte de ce bastion dédié à « la justice sociale » au sein de "France Inter", n’est autre que le gauchiste radical Daniel Mermet, un grand « parangon de l’humanisme flamboyant et de la justice sociale », qui a trôné pendant 25 ans à la tête de la production du programme quotidien culte « Là bas, si j’y suis »… Mais que la direction de la radio a décidé de débarquer en juin 2014, suite aux multiples révélations scandaleuses relatives à ses méthodes managériales  anti-sociales et tyranniques à l’encontre des membres de son équipe, ayant mis à nu le gros paradoxe entre son engagement théorique à défendre sur l’antenne les « opprimés de ce bas monde » et son comportement avéré de pervers narcissique, n’éprouvant de plaisir que par l’exercice d’un pouvoir dictatorial qu’il honnissait "himself" au micro de son émission.

Mais là encore, il ne s’agit pas tant de se focaliser sur le comportement, en somme naturel et très courant que l’on retrouve systématiquement chez tous ces journalistes gauchistes français en rupture de ban et autres trostkystes fourbus, qui veulent créer le "buzz" médiatique en faisant valoir les chimères de leur idéologie éculée.

Ce qu’il est essentiel de dévoiler, c’est comment les héritiers de Saint Daniel Mermet, qui se sentent aujourd’hui investis de la lourde mission de perpétuer vaille que vaille les "mythologies mystificatrices" de leur mentor dans le cadre de l’émission « Comme un bruit qui court », cherchent à reproduire ses impostures idéologiques, notamment lorsqu’il s’agit des relations franco-marocaines.





Le reporter Anaelle Verzaux (photo de gauche) et  le coproducteur de l'émission "Comme un  bruit qui court", Antoine Chao (photo de droite), avec à ses cotes leur père spirituel, Daniel Mermet.



Deux journalistes émergent du lot des légataires moraux de l’œuvre Mermet. Il s’agit d’Antoine Chao et d’Anaelle Verzaux, les deux seuls journalistes qui avaient reçu l’onction du Maître à penser pour décrocher le précieux sésame du titre de reporter au sein de la défunte émission «Là bas, si j’y suis » et qui, naturellement,  n’ont pas hésité à sortir leur grande plume pour défendre bec et ongle Mermet, lorsqu’il était mis en cause pour le harcèlement moral qu’il exerçait sur ses journalistes et dont l'une a même tenté de se suicider.

Pour Antoine Chao, « si l’humeur du postulant est compatible avec celle de Daniel, l'émission « Là bas si j’y suis » devient un fabuleux espace de travail, de création et de revendication, comme il n’en reste que trop peu sur les ondes ». Même son de cloche chez Anaelle Verzaux, lorsqu’elle évoque son gourou : « je n’ai pas (eu) personnellement cette mauvaise expérience avec Mermet et je connais beaucoup de personnes qui étaient ou qui sont toujours ravies de travailler là. Apres, que certains n’apprécient pas sa façon de travailler, se conçoit tout à fait ».
Des coups de poignards dans le dos de leurs collègues lésés, qui ont permis à ces deux journalistes de s’ériger en "œil de Moscou" de Mermet et d’être retenus d'office par « France-Inter », comme les nouveaux artisans de l’émission « Comme un bruit qui court », eu égard à leur capacité d’y perpétuer cette culture de l’anarchisme insurrectionnel, dont se réclame leur père spirituel, qui ne manquait pas de postillonner à la figure de ses collaborateurs : « si certains sont nègres, moi je suis rouge! ».

Bingo, vous l’avez bien deviné ! C’est nos deux reporters rougis à la sauce Mermet,  qui ont réalisé les deux fameuses pastilles sonores sur le Maroc, diffusées par France-inter, le 07 mars dernier. Connaissant désormais le profil sulfureux de leurs auteurs, pour lesquels la fin, aussi crapuleuse soit-elle, justifie les moyens, il devient donc aisé de décrypter le contenu foireux de leur reportage.

 Ainsi, ce n’est pas un hasard qu’Anaelle Verzaux ait généreusement tendu son micro à Catherine Graciet, l’ancienne journaliste de l’ex-« journal hebdomadaire », tout en s’inspirant à foison des inepties que cette dernière avait publiées sur la monarchie marocaine en association avec ses confrères Eric Laurent et Nicolas Beau (un ancien du "Canard Enchainé" et fondateur du site « Mondafrique »). Et pour cause, avant d’atterrir à la radio, Anaelle Verzaux avait d’abord fourbi sa "marocophobie" pendant 04 ans (2007-2011) au sein du site « Bakchich », justement en compagnie de ses gentils copains Catherine Graciet et Nicolas Beau, dont elle a gardé un si bon souvenir, qu’elle n’éprouve aucun scrupule à faire de la pub pour leurs livres, en conseillant sur le webmaster de « France inter », la lecture du « Roi Prédateur » et « Quand le Maroc sera Islamiste » à ceux qui « voudraient apprendre plus » sur les inepties qu’elle a déblatérées sur le Royaume Chérifien. C’est vrai qu’entre « Camarades » on sait se soutenir!

De même, il n’est pas non plus fortuit qu’Antoine Chao, le désormais co-producteur de l’émission « comme un bruit qui claque », ait lui aussi offert « exclusivement » à Claude Mangin Marguerite, l’épouse du "daechien" séparatiste Enaama Asfari, l’occasion de palabrer pendant 30 minutes sur l’histoire de son mari, non sans qu'elle torde le cou à la vérité sur la condamnation de ce dernier et la légitimité de la marocanité du Sahara.

C’est particulièrement évident, lorsqu’on sait qu’avant d’être piqué par la mouche rouge du journalisme, notre Antoine d’origine espagnole était le trompettiste du groupe de rock français fondé en 1987 avec son grand frère adoré Manu Chao et baptisé « la Mano Negra » (du nom d’une organisation de guérilleros sud américains trouvé dans une bande dessinée, qui elle-même tire son nom de l’organisation terroriste andalouse du XIXème siècle, la Mano Negra). Admirez la référence!

Plus captivant encore! Les frères Chao sont issus d’une famille espagnole communiste et "Castriste", dont le grand père, qui avait combattu le franquisme, est demeuré pour eux une référence d’engagement. Et c’est cet engagement qui fait qu’aujourd’hui le grand frère d’Antoine, clairement rivé à gauche et de tendance alter mondialiste, a décidé de mettre sa notoriété d’artiste international au service des égarés du « polisario ».

Soit en leur rendant un hommage dithyrambique à l’occasion du concert qu’il a donné en 2009, en ouverture de « la Fête de l’Huma » (tiens, tiens !) en invitant deux jeunes séparatistes à brandir sur scène le drapeau de la pseudo-rasd, sous les applaudissements des membres de « l’association des amis de la rasd », dont fait partie Claude Mangin Marguerite.
Soit en accompagnant son compatriote, l’acteur  de cinéma Javier Bardem, aux camps de Tindouf, en Algérie, pour exprimer leur soutien à la « cause sahraouie », à l'occasion de l'organisation d'une parodie de "festival international de cinéma".

Voila donc, toute la vérité sur les soubassements des flatulences concoctées par Antoine Chao et sa compère Anaelle Verzaux, qui se croyaient en mesure de parasiter la visite de Laurent Fabius à Rabat. On comprend dès lors la pertinence de l’adage qui dit : « je suis communiste parce que cela me dispense de réfléchir ». Car tel est l’état d’esprit des journalistes de l’extrême gauche qui gangrènent encore les médias publics français, en s'acharnant à ruer dans les relations franco-marocaines.

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