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Nostalgie du Maroc
9 juillet 2015

Clap de la fin annoncé du ramdam de Ali Lmrabet à Genève

On aimerait bien que Ali Lmrabet nous révèle l’adresse mentionnée sur le passeport français que lui a délivré le Consulat général de France à Barcelone.

Depuis le 24 juin dernier, Ali Lmrabet ne cesse de clamer à la face du monde qu’il a entamé une grève de la faim devant la bâtisse du conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève pour protester contre sa prétendue privation de ses papiers d’identité par les autorités marocaines. C’est le seul moyen qu’il a trouvé pour camoufler son prosélytisme aux suisses, depuis qu’ils ont voté par referendum l’interdiction de la construction des minarets dans leur pays. Car en réalité, ce journaliste est tout simplement en train d’observer le jeûne du mois sacré de ramadan et il s’essaye tant bien que mal à faire gober, entre deux dattes algériennes bien mielleuses, le "ramdam" qu’il a tramé autour d’une vulgaire histoire de paperasse administrative, pour titiller les autorités locales de sa ville natale, où comme il le reconnaît lui-même, il ne réside plus depuis son exil volontaire à l’étranger,  en 2004.
Pourtant ce vétéran des imbroglios tragi-comiques, persiste à se lamenter qu’il est devenu depuis le 25 juin dernier, « un sans papier dans son pays», à telle enseigne que la presse française s’est montrée fidèle à sa promptitude à se saisir derechef du cas d’un citoyen français qui prétend avoir maille à partir avec le Maroc. Ah bon ?! Donc Ali Lmrabet a la nationalité française ? C’est vrai qu’il se murmurait sans preuve au sein du microcosme journalistique marocain que ce petit cachottier avait obtenu en catimini sa naturalisation française et qu’il n’a jamais voulu l’ébruiter. On devine pourquoi !
Tout simplement, parce que cela fait capoter tout son radotage, notamment lorsqu’il prétend qu’il est désormais « un sans papier » sans passeport et sans carte d’identité et qu’il ne peut plus voyager.  Maintenant on sait au moins que c’est archi-faux, puisqu’en vertu de sa naturalisation en France, il possède un « passeport bordeaux », dont on se doute qu’il ne l’a pas obtenu en résidant éternellement chez son père à Tétouan.
D’ailleurs, on aimerait bien prendre au mot Ali Lmrabet pour la transparence dont il se prévaut et lui demander de révéler l’adresse mentionnée sur le passeport français que lui a délivré le Consulat général de France à Barcelone? Est-ce à l’adresse de son lieu de résidence où il a emménagé à cette ville avec sa femme espagnole et ses enfants, ou celle de son père au Maroc?
Toujours est-il que les quelques morpions qui feignent de s’inquiéter pour « la liberté de circuler » de Ali Lmrabet et qui se sont invités aujourd’hui (09 juillet 2015) à Genève pour partager solidairement avec lui sa « harira » suisse, savent pertinemment que ce dernier n’a vraiment pas de quoi se plaindre, puisqu’il est en mesure de voyager dans tout l’espace Schengen avec sa seule carte d’identité française.
Mais ce journaliste ne démord pas et continue à réclamer un passeport marocain et une carte d’identité en fournissant une adresse de résidence caduque. Pourquoi cette étrange insistance ? Ali Lmrabet a-t-il tant honte de son « passeport bordeaux », auquel cas il devrait se résoudre à s’auto-déchoir de sa nationalité française ? Il est évident que ce dernier n’abandonnera jamais le sésame d’un pays, où au delà de ses séjours très occasionnels, à l’instar du Maroc, la presse ne peut s’empêcher de relayer son petit «jeu».
C’est en tous cas ce qu’il vient de déclarer (verbatim) au quotidien « le Monde », en évoquant son show ramadanesque en suisse : je ne peux pas m’empêcher de jouer et de tester les libertés d’expression (au Maroc) ». Un jeu qu’il aurait, aux dernières nouvelles, manifestement perdu et qui lui aurait également fait perdre 7 kilos. Et pour cause, à moins d’une semaine de l’Aid, Ali Lmrabet ne pouvait plus prolonger sa pseudo grève de la faim. Finalement, il ira renouveler son passeport marocain au Consulat du Maroc à Barcelone, ville où il est répertorié pour y habiter, autant par les agents consulaires marocains que français. Sacré Ali Lmrabet ! Il n’en finira jamais de se ridiculiser avec ses gags qui ne valent pas un franc suisse.

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