Les dessous du simulacre d’Ennaama Asfari pour influer sur le cours de la justice française

La victimologie est le propre des agents sanguinaires du « polisario » qui commencent à trouver le temps long derrière les barreaux de la prison de Salé, où ils purgent leurs longues peines auxquelles ils ont été condamnés pour les crimes perpétrés en 2010 contre les forces de l’ordre marocaines, lors du démantèlement du camp de « Gdem Izig », dans la banlieue de Laayoune.

Depuis leur incarcération, Ennaama Asfari et ses acolytes ont pris l’habitude de recourir à la technique éculée de la grève de la faim fictive, qu’ils déclenchent, bien évidemment, à la veille du rendez vous printanier du Conseil de Sécurité de l’ONU sur le Sahara, pour protester contre leurs prétendues mauvaises conditions de détention et ce, dans l’espoir chimérique de se faire passer pour les « martyrs »… d’une cause perdue.

Mais cette année et en raison d’une donne bien particulière, des désaccords ont surgi entre ces faux grévistes de la faim. La majorité d’entre eux en ont ras-le-bol de manger et de boire en catimini depuis un peu plus de trois semaines,  sauf un : Enaama Asfari. 

Ce dernier s’évertue égoïstement à obliger ses compagnons d’infortune à poursuivre leur simulacre jusqu’au 04 avril prochain, date à laquelle le Tribunal de Grande Instance de Paris va examiner la recevabilité de sa plainte pour « torture » contre les services de sécurité marocains. 

C’est la raison essentielle pour laquelle Ennaama Asfari tient à prolonger cette soi-disant grève de la faim collective, dont le caractère fallacieux et mensonger vient magistralement d’être révélé par un récent communiqué officiel de la Délégation Générale à l’Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion, dans lequel il est souligné que Ennaama Asfari et sa bande refusent catégoriquement de se soumettre à un examen médical, qui ne manquerait pas d’établir qu’ils se portent tous comme un charme. 

Une énième manigance d’Ennaama Asfari, qui est conscient de la vacuité de sa plainte et qui tente d’influer sur le cours de la justice française, sachant que l’impénitent est embourbé, preuves à l’appui, jusqu’au cou dans les ignobles assassinats contre des éléments des forces de l’ordre marocaines sauvagement égorgés et dont les dépouilles ont fait l’objet de toutes sortes de profanation.